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Stalk me on the internet

Archive: insight

Insights #3

Posted by on 06.06.2011 in Planning & Strategy

Chaque mois retrouvez des observations ou des insights surprenants…

Monitoring sans mots-clé

 

Sampling avec la bonne météo

Fragmentation des médias et sources fiables

Promoted Tweets – Royal Tweets

ROI pour les médias sociaux

FR + CH = one aera, two systems

Image de marque sur le pas de porte de l’entreprise

 

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Envoyez vos observations, tweets et images (URL tweet, flickr/instagram, pas de fichier merci)

et je publierai chaque mois une sélection de vos remarques les plus pertinentes.

Insights #2

Posted by on 03.05.2011 in Planning & Strategy

Chaque mois retrouvez des observations ou des insights surprenants…

Café, espresso, cortado…

Le café, un produit de base (comme la farine, le sucre, le cacao…) devenu produit de luxe.

Quand on se sent à l’aise, on fait comme chez soi

Data: le poids des choses (ici)

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Insights #1

Posted by on 27.04.2011 in Planning & Strategy

Chaque mois retrouvez des observations ou des insights surprenants…

A propos des mailings de levée de fonds pour une oeuvre caritative:

Pourquoi ai-je l’impression que la cible comm et les bénéficiares des services de #caritas ne font qu’un http://instagr.am/p/CrgCb/

– Tweet de @sdufaux

A propos de la relation client dans les transports publics lorsque vous êtes porteur d’un abonnement:

Depuis que j’ai à nouveau un AG CFF, le contrôleur me sourit. Je suis pourtant pas plus cliente qu’il y a 2 jours. #iphone vs #abo

– Tweet de @sdufaux

A propos de la pléthore d’actions en faveur des victimes du tsunami au Japon:

Consumers become increasingly skeptical of cause-related marketing http://ow.ly/4pn18 #japan #tragedy #exploitation

– Tweet de @sdufaux

A propos des annuaires téléphoniques que chaque abonné filaire reçoit chaque année. Obsolescence et durabilité ne font pas bon ménage:

Même si #swisscom délègue, sachez que je ne lis plus cet ouvrage depuis 10 ans #eco #telco #digital http://instagr.am/p/CpwSR/

– Tweet de @sdufaux

A propos du service après-vente de l’organisme responsable de l’attribution des nom de domaines .ch et .li en Suisse:

Le helpdesk de #switchplus répond à vos questions en vous renvoyant aux pages FAQ, comme si je ne les avait pas déjà décortiquée. #useless

– Tweet de @sdufaux

A propos des bons fruits et légumes que nous devons manger 5 fois par jour:

Tomates pas biologiques… @ Coop de Prélaz http://instagr.am/p/CFtvL/

– Tweet de @sdufaux

A propos d’un service qui “veut rendre service”:

Meta Branding http://instagr.am/p/CET0E/

– Tweet de @sdufaux

 

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et je publierai chaque mois une sélection de vos remarques les plus pertinentes.

A go-to source for new ideas, telle est le slogan de PSFK, l’agence de recherche en tendances et innovation basée à New York et fondée par Piers Fawkes. Depuis des années PSFK, est une ressource sans pareille pour les planners. A la mi-septembre, je me suis rendue à Londres avec MC Casal (@mccasal) pour participer à l’édition européenne de leur conférence. Un seul jour certes, mais d’une grande richesse.

L’événement rondement mené par Piers Fawkes – accompagné pour l’occasion de deux PSFK Trends Analyst, Jeff Weiner (@jgweiner) et Kyle Studstill (@kylecameron), était organisé en 4 modules thématiques: Inspired Interactions, Visionary Experiences, Art and Reaction et enfin Connecting a Better World.

Pour la petite histoire, MC Casal et moi-même avions déjà rencontré Kyle IRL cet hiver à New York. Force est de constater que les technologies émergentes permettent de s’intéresser à certaines personnes et profils, de rester en contact et finalement de concrétiser ce lien. Des rencontres tout simplement impossibles en d’autres circonstances. C’est donc avec un très grand plaisir que nous avons eu l’occasion de prolonger la conférence le lendemain autour d’une bière à Bateman St. avec Kyle.

Mais revenons à notre conférence…

A en croire les différents intervenants de cette journée, et cela me semble bien résumer le propos de cette édition: la collaborativité, l’expérience qu’elle génère et le storytelling de certains sont autant d’aspects qui ont traversé toute cette journée inspirante, si ce n’est tout ce week-end londonien.

INSPIRED INTERACTIONS – Le travail de Usman Haque (@uah) s’inspire essentiellement des connections des utilisateurs avec des objets ou des dispositifs, leurs environnements et leurs participations. Haque développe des systèmes participatifs tel que Primal Source, Pachube, Natural Fuse qui impliquent une collaborativité dont le bon fonctionnement et la réussite de l’expérience dépendent de l’engagement responsable des contributeurs.

VISIONARY EXPERIENCES – Dougald Hine (@dougald) de l’agence Space Makers nous a montré comment sont agence a fait renaître une allée marchande à Brixton. Partant du postulat que le marché est non seulement un lieu de transaction, mais avant tout un lieu social de rencontre.

Dougald Hine - How i stopped worrying and learned to love the market
Dougald Hine. Notes de Jason Mesut

ART AND REACTION – Avec son projet Toaster, Thomas Thwaites a démontré qu’un appareil aussi banal et simple que le toaster, composé de 400 pièces, est une somme de techniques industrielles complexes. Construire un toaster à partir de zéro – il a lui-même fondu de la roche pour en extraire le fer – lui a coûté plus de 100’000 £ et près d’une année de recherches pour dénicher les matières et compositions. C’est à vous dégoûter du prix qu’il est vendu dans le magasin du coin.

CONNECTING A BETTER WORLD – Matt Jones (@moleitau) de Berg London est venu en chaussettes (sic) nous parler de nearness avec la multiplication des projets comportant des puces RFID ou encore du site How Big Really, un projet de la BBC, qui permet de prendre conscience de la taille des événements historiques à l’échelle de dimensions qui nous parlent. Quelle surface couvrirait les inondations du Pakistan en Europe? C’est surprenant. Matt Jones nous a aussi entretenu d’un phénomène que nous ne pouvons ignorer: le endless digital now, soit l’atemporalité dans la culture. Que restera-t-il de tout cela? Jones botte en touche et cite Russell Davies:

Par ailleurs, l’équipe de PSFK n’a pas manqué de présenter deux rapports qu’elle a récemment publié et que vous pourrez facilement vous procurer, si cela n’est pas déjà fait: The future of Health et The Future of Retail.


Et encore


Aujourd’hui 1er septembre, des musées du monde entier participent à l’action Ask a Curator et invitent chacun à poser des questions sur le monde de l’art. Il s’agit d’un projet visant à démystifier et rendre plus populaire l’accès à l’art, son histoire, sa science et ses techniques. Belle initiative.

Alors comment conserver une oeuvre? Quels sont les nouvelles acquisitions de la collection? Comment gérer le transport et le montage d’installations complexes? Quels sont les problèmes majeurs en conservation d’oeuvre? Sur le site vous trouverez la liste des musées participants (Who to ask?) à l’action. Mais vous pouvez aussi tout simplement suivre le hashtag #askacurator pour accéder à l’ensemble des conversations.

Bien que le projet soit international, les musées… disons anglophones sont les principaux acteurs à avoir répondu présents. En France et en Suisse, force est de constater que des musées de valeur ont mis la main à la pâte sans pour autant qu’il s’agisse des top of mind habituels. En Suisse, aucuns Kunsthaus, Musée Olympique ou Fondation Beyeler, seule la Maison d’Ailleurs a répondu présent. Vous pouvez leur tweeter votre question: @maisondailleurs.

Les grands musées bouderaient-ils les réseaux sociaux? S’il n’est pas compliqué de créer un compte Twitter, en revanche il est moins aisé de mettre en place une stratégie de médias sociaux qui ne s’essouffle pas après 2 mois faute de vision, d’objectifs, de ressources… et de persévérance. Il n’est pas suffisant de se “payer” une stratégie sociale encore faut-il savoir l’implémenter et surtout adopter au sein de l’entreprise (oui le client doit mettre la main à pâte, ce n’est pas une campagne d’affichage!) une attitude sociale de partage propice à la participation.

En Suisse, les médias sociaux suscitent un intérêt, mais encore de la méfiance. Ils sont à priori perçus comme faisant exclusivement partie du silos communication, voir pire publicité (grave erreur!), or ils touchent à tous les aspects de l’entreprise du département Recherche & Développement aux Ressources Humaines en passant par le Service Clientèle et le Marketing. Au début des années 2000, le même problème déchirait les entreprises: le site internet est-il de la responsabilité du services IT ou de la communication?

Enfin, si votre présence sur les médias sociaux est destinée à vous crédibiliser dans votre écoute et votre volonté à dialoguer, ce n’est pas l’affaire d’une campagne de 3 mois sous forme de broadcasting sur Facebook et Twitter qui vous sauvera. Tout cela est ludique oui, mais ce n’est pas un jeu, c’est un changement de paradigme à long terme qui risque bien de bouleverser l’organisation interne et les processus de collaboration de votre entreprise.

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Doléances et bon exemple (bref retour: 02.09.2010)
Malgré une annonce faite par le musée (ci-dessous), Maison d’Ailleurs n’a pas répondu à ma question. Cela démontre que les belles promesses nécessitent une mise en place de ressources avec au minimum un monitoring pour savoir si l’on discute de votre marque et ce qu’il en est dit.

La Tate est très active sur les plateformes digitales, elle a ainsi mis les moyens avec plusieurs curateurs qui se sont succédés tout au long de la journée. Le programme et les rendez-vous avec des experts spécifiques, communiqué au préalable sur le blog et sur la Fan Page Facebook, ont permis à l’utilisateur de découvrir différentes facettes du célèbre musée.

Deux approches diamétralement opposées, vous en conviendrez.

(via Good)

PSFK le vénérable Think Tank et Trend Spotter New-Yorkais met à nouveau sous la lumière des projecteurs le métier de planner, souvent aussi appelé strategic planner ou account planner.

Cette fois, PSFK s’est allié à Alpert Search (un agence de placement spécialisée en planning – on croirait rêver, mais cela existe!) pour nous livrer une série de vidéos  qui abordent plusieurs aspects de cette discipline méconnue, hormis dans les agences de réseau.

La monde de la communication est en mutation constante, le métier de planner aussi. Et pourtant l’essence même de ce métier n’a pas changé: se passionner pour l’humain. Stephen King l’un des instigateurs anglais de cette révolution dans le monde de la publicité l’avait bien saisi.

Qu’est-ce que le planning? (version courte, plus)
En 1964, Stephen King (homonyme du non moins célèbre écrivain), mécontent du fonctionnement des départements média et marketing au sein de son agence, développe une nouvelle méthode de travail qui se concentre sur la combinaison de la recherche des consommateurs (consumer research) et des insights pour créer une publicité plus efficace et créative.

“Any systematic approach to planning advertising has to do more than simply provide controls and disciplines. It must actively stimulate imagination and creativity too”.
(Stephen King, JWT Planning Guide, 1974) 

Aujourd’hui le planner doit absolument être capable d’intégrer les technologies émergentes afin de produire des idées qui engagent le consommateur. Rien de nouveau, mais peu de personnes savent le faire correctement! Il ne suffit plus de connecter les pièces du puzzle pour les arranger et les organiser dans un ordre surprenant (=créatif) et acceptable au niveau de la marque, il s’agit de comprendre la marque et de créer une histoire et une expérience unique qui touchent l’utilisateur dans son quotidien, notamment dans la sphère digitale et mobile.

Episode 1 – Intuitive Problem Solving

Episode 2 – Communicating Ideas

Episode 3 – Insatiable curiosity

Episode 4 – Understanding The Human Condition

Episode 5 – Rolling Up Your Sleeves

Cet article sera augmenté au fur et à mesure avec les vidéos à venir.

(via PSFK)

Du bon usage des médias sociaux
Go where people are! En voyage on se connecte volontiers à son réseau social favori pour partager des informations, qui plus est s’il faut tuer le temps dans un aéroport (c’est du vécu!) ou dans une chambre d’hôtel last minute miteuse à cause d’un capricieux volcan. SWISS est précisément là où ses clients et fans sont, sur Facebook. Etant donné la forte pénétration du marché des smartphones, il y a fort à parier que si vous êtes un malheureux client en stand-by de la compagnie aérienne, Swiss est alors en ce moment à vos côtés, dans le creux de votre main.

La page Facebook de SWISS se rend utile aux passagers déboussolés. Mais que permettent les médias sociaux dans pareille circonstance qu’un site corporate pourrait difficilement offrir… on the fly:

  • mise à jour fréquente du contenu
  • la marque parle et engage la conversation avec les utilisateurs (engagement vertical)
  • les réponses aux questions individuelles sont visibles pour l’ensemble de la communauté: c’est la plus-value de la conversation
  • l’information peut être commentée et enrichie par les autres utilisateurs (engagement horizontal)
  • l’information circule et peut être partagée sur le profil des “followers” ou des “fans”
  • la marque montre qu’elle ‘écoute’ ses clients. Elle augmente ainsi sont capital confiance auprès de ses clients. Elle obtient aussi de précieux insights qui lui permettent d’améliorer l’expérience client.
Quelles sont vos bonnes expériences avec les marques sur les réseaux sociaux?