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Stalk me on the internet

Archive: cominmag

Le scénario suivant se déroule: Une entreprise crée une page Facebook ou un compte Twitter et publie des nouvelles de son entreprise. Tout se passe bien jusqu’au moment où l’entreprise s’impatiente de ne pas voir de retour sur cette coquille vide. «Pourquoi personne ne like-t-il nos nouvelles si intéressantes?», «Et cette page… elle peine a décoller pourtant tout le monde est sur Facebook»! Cette entreprise a malheureusement tort de croire qu’il suffit d’ouvrir un compte et de publier trois fois rien au sujet de ses produits ou services pour que cela fonctionne. Pourquoi cette attitude est-elle agaçante?

Que vous soyez une marque ou une personne, créer un profil sur les médias sociaux prend 2 minutes. Nous sommes tous d’accord sur ce point. Déjà 1 milliard de personnes l’ont fait sur Facebook. Alors pourquoi une entreprise devrait-elle investir plusieurs dizaines – voire centaines – de milliers de francs dans une stratégie, un programme social media et des campagnes ponctuelles? Selon le rapport Studie Social Media Schweiz (Bernet & ZHAW, 2012) seul 53% des entreprises suisses ayant une présence sur les médias sociaux ont formulé une stratégie adhoc soit au niveau entreprise, soit plus modestement au niveau d’un département. Quelle hécatombe! 46% des entreprises suisses qui n‘ont aucune stratégie. Et que pourraient améliorer les 53% déjà présentes?

Disposer d’un budget formation continue et événements professionnels pour vos collaborateurs représente-t-il un coût inenvisageable ou une stratégie gagnante pour le développement de votre société?

Cultiver son jardin. Vous admettrez sans mal que les investissements sont indispensables pour le business. Qu’en est-il des ressources humaines? Sans politique d’investissement sur vos talents à l’interne, votre entreprise risque de ne rapidement plus disposer de collaborateurs pouvant répondre aux nouvelles exigences du marché.

Nous sommes début décembre. Les décorations de Noël sont déjà installées dans les rues depuis un mois. Comme beaucoup de consommateurs, vous avez déjà pensé aux cadeaux pour vos enfants et la famille. Vous avez démarré les achats à fin octobre et vous avez fait une razzia le jour de Black Friday. Vous êtes paré. Mais avez-vous envoyé vos voeux de Noël d’entreprise? Si ce n’est pas le cas, il est temps de mettre la dinde en mode panique.

Mode panique de la dinde

Pourquoi vous parler de cela? Si courant décembre vous réfléchissez encore à la Big Idea pour transmettre vos voeux, que vous êtes sur le point d’imprimer ou que vous préparez une application, cela signifie très clairement que vous considérez la fin de l’année comme une corvée du calendrier, coincée entre les demandes de dernière minute de vos clients et les «pitches» pour la nouvelle année. C’est une erreur tactique de relation à la clientèle qui peut stratégiquement coûter cher sur le long terme.